jeudi 23 avril 2009

look what u've done

*j'aime bien le glauque d'en bas de chez moi




vendredi 10 avril 2009

Lachez Moi


*ce qui m'énerve également :
le fait de ne pas arriver à finir ma robe semblable à la sienne



P
uisque je suis dans ma période crise d'adolescence décérébrée, et anti parentale au possible, je vais faire une liste de ce qui m'insupporte dans la vie.


Parlez dans le micro


#
La bêtise humaine, où le fait de dire des conneries plus grosses que soi

# Les fautes d'orthographes, car j'ai été prof de français dans une vie antérieure

# Les délires/trips supra méga droles

# Ma mère. Oh là camarade, laisse moi finir, ne t'excite pas. Ma mère lorsqu'elle prend des
accents pourris pour dire quelque chose de totalement normal où il n'y a pas raison de prendre un accent pourris lorsqu'on va dire quelque chose de totalement normal.

# Lorsqu'on ne fait pas attention à moi. D'où les cheveux couleurs carottes.

# Les fantômes qui posent des lapins. On s'est compris.

# Les gens qui me parlent avant que j'ai bu mon jus de pomme acide au petit déjeuner.

# Les gens qui me disent "Ah mais t'as des gouts très bizarres" d'un air dégouté. Laissez moi vivre merde.

# Les notifications facebook par e-mail qui s'enchainent alors que tu n'en a rien à battre. "Machin a commenté une photo de vous", alors qu'on t'a marqué sur un texte qui te demande de raconter un souvenir.

# Les gens qui ne répondent pas aux sms/appels. Tu te sens misérable.

# La compassion.

# Passer pour une peureuse/faible à coté d'un garçon. C'est mon petit coté Simone de Beauvoir à moi.

# Regarder des séries en streaming (ouais ouais, pas du tout concernée par la polémique) et que Mégavidéo coupe en plein milieu d'une action tendue : "You have watched 72 minutes of video today"

# La pilule qui me donne des boutons.

# M'excuser.



Liste des courses à éditer

jeudi 19 mars 2009




Là tu vois tout de suite, j'ai envie de vomir ma race.



Layla, Eric Clapton, Mark Knopfler

mercredi 11 mars 2009

Because the night


*Carrousel de MontMartre


Si j'étais Shakespeare, je me retournerai dans ma tombe, où il pourrait entendre crier ses ouvrages décortiqués mots par mots, virgules par virgules, pour en extraire le liquide et le pus sensé nous guider vers la voie de la compréhension totale de l'œuvre écrite.




dimanche 1 février 2009

Jukebox Blues


Pétition pour retourner dans les années 60














Découvrez Stray Cats!

vendredi 23 janvier 2009

Le luxe, pour un cubain, est une mauvaise bouteille de whiskey




T
raverser le monde pour le voir à travers l'objectif.
J'ai trouvé mon métier, depuis un petit bout de temps déjà, mais j'ai maintenant le but principal du pourquoi je veux faire ce métier.
Ecarter la culture française afin de s'immerger dans les autres, pour une ouverture d'esprit totale. Je souhaite traverser principalement l'Amérique du Sud, et rapporter avec moi des photos qui ne montrent pas dans quelles conditions de vie misérables, ou précaires ils vivent, mais comment dignement ils évoluent dans leur culture. En aucun cas parler d'exotisme attractif, ni de tourisme passager. Je veux dépeindre leurs repas, leur sommeil, leurs coutumes, leurs mariages, leurs fêtes, leurs enterrements, leurs courses, leurs jeux, leurs enfants, leurs amours.
Comment voient-ils leur pays, leurs dirigeants, sans plonger dans le politiquement correct et photographie engagée, comment voient-ils les hommes ?
Plonger les hommes dans différentes cultures autre que la leur, leur montrer que les pays existent sans le Club Med ou FRAM Voyage.
Et surtout, prouver que ce ne sont pas les petits hommes misérables qui mendient et qui provoquent seulement la pitié aux bons samaritains.
Doisneau a illustré Paris. J'illustrerai l'Amérique Latine.


Film Le Che, Partie I L'Argentin.
Le réalisme frappant n'est pas le seul facteur décisif de ce film au demeurant excellent. La linéarité, le jeux des acteurs, et l'histoire également. Si on s'intéresse un temps soit peu ou à l'histoire du Che, autre que la photo d'Alberto Korda sur les tee-shirt, ou à l'histoire de l'Amérique du Sud, on ne peut qu'être frappé.